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La lune-hangari doit s'imposer comme un symbole de l’esthétique coréenne et comme l’objet emblématique incarnant l’essence même de la marque K-Classic.
Désormais, la question cruciale est de savoir comment inscrire efficacement, dans l’esprit du public national et international, la valeur symbolique et la noblesse que recèle le nom même de « lune-hangari ». Il faut dépasser la conception du simple objet en céramique pour l’interpréter comme la quintessence d’une esthétique orientale marquée par la sobriété, la retenue et l’harmonie avec la nature, et à partir de là, renforcer son lien avec l’univers de la K-Classic.
Pour ce faire, il convient de développer des contenus fusionnant divers genres artistiques — instruments traditionnels coréens, arts ancestraux, musique classique occidentale, mais aussi peinture, sculpture, art numérique, etc. L’esthétique de la lune-hangari repose sur la profondeur dans la simplicité, la beauté du vide, les lignes épurées et une retenue visuelle qui rejoignent pleinement les valeurs fondamentales de la K-Classic.
Inspirés par la lune-hangari, des chefs-d'œuvre de maîtres artisans, les philosophies des potiers comme celles du temple Geumhosa, ou encore des séries de variations composées par des musiciens contemporains, pourraient être présentés sous forme de « cookie dramas » — de mini-créations scénarisées mêlant opéra, musique de chambre, musique de film, etc. Cela constituerait un nouvel élan pour la K-Classic et une base solide pour sa diffusion à l’échelle mondiale.
En parallèle, le lancement officiel du cycle de poèmes « Lune-hangari » du poète Tak Gye-seok servira de contenu littéraire central. En incitant compositeurs, metteurs en scène et directeurs artistiques de Corée et d’ailleurs à y participer, on créera un véritable écosystème de marque. Ce projet de convergence autour de la lune-hangari deviendra ainsi le point de départ narratif qui gravera l’identité de la K-Classic sur la scène artistique mondiale.
